Le chef -d’œuvre, Anna Enquist, 1994, traduit du néerlendaispar Nadine Stabile, Actes Sud.
Anna Enquist, née aux Pays-Bas en 1945, psychanalyste et pianiste de formation publie en 1994 son premier roman, Le chef-d’œuvre.
Le chef- d’œuvre est un roman psychologique. Il est centré sur les névroses familiales qui piègent Alma, 75 ans, et ses deux fils, Johan, le préféré et Oscar, le jaloux. Alma abandonnée par son mari il y a 40 ans intrigue et manipule. Le passé n’est jamais passé, c’est terrible ! L’auteure décortique avec finesse les ravages causés dans le couple Ellen-Johan par la disparition d’un enfant. Elle analyse les difficultés de Lisa et Ellen à se réaliser en tant que femmes, leur amitié superbement déroulée est salvatrice. Le chef-d’œuvre est un très bon livre, un livre miroir, dont on peut néanmoins déplorer certaines longueurs.
Et le début de l’histoire ?
La veille de l’exposition qui doit consacrer Johan artiste-peintre, Oscar critique d’art publie un article détracteur de l’art contemporain. Ce coup d’épée rompt le fragile équilibre familial et relance les rancoeurs. A l’occasion de ce vernissage, Johan a transmis une invitation à son père Charles. Du coup le passé fait irruption, Alma délire, Ellen séparée de son mari Johan, la prend en charge. Oscar se met en quête dans les réserves du musée d’un legs fait par leur père Charles, artiste-peintre autrefois lui aussi…
Fanny Celsiana
Sur le site, des avis sur d’autres titres d’Anna Enquist :
Les porteurs de glace
Le retour
Anna Enquist, née aux Pays-Bas en 1945, psychanalyste et pianiste de formation publie en 1994 son premier roman, Le chef-d’œuvre.
Le chef- d’œuvre est un roman psychologique. Il est centré sur les névroses familiales qui piègent Alma, 75 ans, et ses deux fils, Johan, le préféré et Oscar, le jaloux. Alma abandonnée par son mari il y a 40 ans intrigue et manipule. Le passé n’est jamais passé, c’est terrible ! L’auteure décortique avec finesse les ravages causés dans le couple Ellen-Johan par la disparition d’un enfant. Elle analyse les difficultés de Lisa et Ellen à se réaliser en tant que femmes, leur amitié superbement déroulée est salvatrice. Le chef-d’œuvre est un très bon livre, un livre miroir, dont on peut néanmoins déplorer certaines longueurs.
Et le début de l’histoire ?
La veille de l’exposition qui doit consacrer Johan artiste-peintre, Oscar critique d’art publie un article détracteur de l’art contemporain. Ce coup d’épée rompt le fragile équilibre familial et relance les rancoeurs. A l’occasion de ce vernissage, Johan a transmis une invitation à son père Charles. Du coup le passé fait irruption, Alma délire, Ellen séparée de son mari Johan, la prend en charge. Oscar se met en quête dans les réserves du musée d’un legs fait par leur père Charles, artiste-peintre autrefois lui aussi…
Fanny Celsiana
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