Les vieux ne pleurent jamais, Céline Curiol, Actes Sud, 2016.
Céline Curiol née à Lyon en 1975, ingénieur de formation, actuellement journaliste et professeur, écrit des romans et des essais.
Les vieux ne pleurent jamais est un roman agréable, facile à lire, tonique, qui traite de la vieillesse des femmes avec humour et optimisme. Céline Curiol pousse ses personnages dans leurs retranchements : attendre la fin ou rester vivante et désirer malgré l’âge? Un bon roman populaire qui fait du bien.
Dans la première partie, deux veuves septuagénaires, vivant à New York font connaissance :la narratrice, Judith, Française,ancienne comédienne, a perdu son mari Herb, il y a un an et vit dans ses souvenirs, Janet, sa voisine, une ancienne costumière, est beaucoup moins timorée. Janet réussit à convaincre Judith de participer à un voyage organisé de deux jours en car. C’est l’occasion pour l’auteur de peindre avec humour les affres d’une vieillesse « sous cloche ».
Dans la deuxième partie, Judith est en France. Une photo qu’elle a retrouvée dans Le Voyage au bout de la nuit de Céline a fait resurgir chez elle le besoin du passé, du retour vers ceux avec qui elle a rompu il y a une cinquantaine d’années, pour avoir une explication finale. Ses amours de jeunesse ont été contrariés par Katia, sa mère et Julien, son frère. Judith reverra-t-elle Julien qui n’a pas rejoint son groupe à l’issue de la visite de la maison de Bonaparte ?
Fanny Celsiana
Céline Curiol née à Lyon en 1975, ingénieur de formation, actuellement journaliste et professeur, écrit des romans et des essais.
Les vieux ne pleurent jamais est un roman agréable, facile à lire, tonique, qui traite de la vieillesse des femmes avec humour et optimisme. Céline Curiol pousse ses personnages dans leurs retranchements : attendre la fin ou rester vivante et désirer malgré l’âge? Un bon roman populaire qui fait du bien.
Dans la première partie, deux veuves septuagénaires, vivant à New York font connaissance :la narratrice, Judith, Française,ancienne comédienne, a perdu son mari Herb, il y a un an et vit dans ses souvenirs, Janet, sa voisine, une ancienne costumière, est beaucoup moins timorée. Janet réussit à convaincre Judith de participer à un voyage organisé de deux jours en car. C’est l’occasion pour l’auteur de peindre avec humour les affres d’une vieillesse « sous cloche ».
Dans la deuxième partie, Judith est en France. Une photo qu’elle a retrouvée dans Le Voyage au bout de la nuit de Céline a fait resurgir chez elle le besoin du passé, du retour vers ceux avec qui elle a rompu il y a une cinquantaine d’années, pour avoir une explication finale. Ses amours de jeunesse ont été contrariés par Katia, sa mère et Julien, son frère. Judith reverra-t-elle Julien qui n’a pas rejoint son groupe à l’issue de la visite de la maison de Bonaparte ?
Fanny Celsiana