Dans la lumière des saisons
Lettres à une amie lointaine
Charles Juliet, P.O.L, 1991.
Charles Juliet né en 1934 dans l’Ain a notamment écrit son Journal en une dizaine de volumes et Lambeaux.
Le livre, très court, s’articule autour de quatre lettres, une par saison, adressées à une amie qui vit en Amérique du nord.
Dans la lumière des saisons est une merveille où Charles Juliet se livre au cours des saisons à une introspection avec un style profond, sans un mot de trop. Il nous fait part de ses questionnements sur l’écriture, la lecture, sur son cheminement pour devenir lui-même.
Première lettre : l’auteur se sent accordé avec la douceur de l’automne, saison des récoltes, de la maturité. Il y analyse l’évolution de son rapport à la lecture.
Deuxième lettre : l’hiver est une saison de passivité totale.
Troisième lettre : l’auteur aime se promener dans les collines au printemps. Il analyse ce qu’est l’attente. « Lorsqu’on pénètre sa nuit, la première chose que l’on découvre c’est qu’on est captif d’une geôle. Y demeurera-t-on toute sa vie ? » écrit-il.
Quatrième lettre : l’été est exténuant…
Fanny Celsiana
Lettres à une amie lointaine
Charles Juliet, P.O.L, 1991.
Charles Juliet né en 1934 dans l’Ain a notamment écrit son Journal en une dizaine de volumes et Lambeaux.
Le livre, très court, s’articule autour de quatre lettres, une par saison, adressées à une amie qui vit en Amérique du nord.
Dans la lumière des saisons est une merveille où Charles Juliet se livre au cours des saisons à une introspection avec un style profond, sans un mot de trop. Il nous fait part de ses questionnements sur l’écriture, la lecture, sur son cheminement pour devenir lui-même.
Première lettre : l’auteur se sent accordé avec la douceur de l’automne, saison des récoltes, de la maturité. Il y analyse l’évolution de son rapport à la lecture.
Deuxième lettre : l’hiver est une saison de passivité totale.
Troisième lettre : l’auteur aime se promener dans les collines au printemps. Il analyse ce qu’est l’attente. « Lorsqu’on pénètre sa nuit, la première chose que l’on découvre c’est qu’on est captif d’une geôle. Y demeurera-t-on toute sa vie ? » écrit-il.
Quatrième lettre : l’été est exténuant…
Fanny Celsiana